Principaux faits

  • Plus de 1,5 million d’adolescents et de jeunes adultes de 10 à 24 ans sont décédés en 2019, soit près de 5000 par jour.
  • Les jeunes adolescents (10-14 ans) présentent le plus faible risque de décès toutes tranches d’âge confondues.
  • Les traumatismes (y compris ceux dus aux accidents de la route et les noyades), la violence, l’automutilation et les affections maternelles sont les principales causes de décès chez les adolescents et les jeunes adultes.
  • La moitié des troubles de santé mentale à l’âge adulte se manifestent dès l’âge de 14 ans, mais la plupart des cas ne sont ni détectés ni traités.
  • L’apparition précoce de la consommation de substances psychoactives est associée à un risque plus élevé de voir apparaître une dépendance et d’autres problèmes à l’âge adulte, et les personnes plus jeunes sont nettement plus touchées par la consommation de substances psychoactives que les personnes plus âgées.
  • À l’échelle mondiale, on enregistre chaque année 43 naissances pour 1000 jeunes filles âgées de 15 à 19 ans.

Quels sont les groupes les plus à risque de décès ?

Les chances de survie des adolescents et des jeunes adultes sont très variables à l’échelle mondiale. En 2019, la probabilité de décès chez les 10-24 ans était la plus élevée en Afrique subsaharienne, en Asie centrale et en Asie du Sud, en Océanie (à l’exclusion de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande) et en Amérique latine et aux Caraïbes (1). La probabilité moyenne à l’échelle mondiale qu’un enfant de 10 ans meure avant l’âge de 24 ans était 6 fois plus élevée en Afrique subsaharienne qu’en Amérique du Nord et en Europe.

Au niveau national, la mortalité chez les 10-14 ans était comprise entre 0,2 et 14,8 décès pour 1000 adolescents de 10 ans, chez les 15-19 ans, entre 0,8 et 24,9 pour 1000 adolescents de 15 ans et chez les 20-24 ans, entre 0,8 et 27,9 pour 1000 jeunes adultes de 20 ans. Les pays où la mortalité est la plus élevée se concentrent en Afrique subsaharienne.

Principaux problèmes de santé

Traumatismes

Les blessures involontaires sont l’une des principales causes de décès et de handicap chez les adolescents. En 2019, plus de 115 000 adolescents sont décédés dans un accident de la route. Nombre des victimes sont des « usagers de la route vulnérables » : piétons, cyclistes ou utilisateurs de deux-roues motorisés. De nombreux pays doivent adopter une législation plus complète en matière de sécurité routière et en renforcer l’application. En outre, les jeunes conducteurs ont besoin de conseils en matière de sécurité routière et les lois interdisant la conduite sous l’emprise de l’alcool ou de drogues doivent être strictement appliquées quelle que soit la tranche d’âge. Les taux d’alcoolémie dans le sang doivent être inférieurs pour les jeunes conducteurs à ceux fixés pour les adultes. Il est recommandé d’instaurer des permis progressifs, assortis d’une tolérance zéro de l’alcool au volant, pour les conducteurs débutants.

La noyade est aussi une cause importante de décès chez les adolescents. D’après les estimations, plus de 30 000 adolescents, dont plus des trois quarts de garçons, se sont noyés en 2019. Pour prévenir ces décès, il est essentiel d’apprendre à nager aux enfants et aux adolescents.

Violence

La violence interpersonnelle est la quatrième cause de décès chez les adolescents et les jeunes adultes à l’échelle mondiale. Son importance varie considérablement selon les Régions. Elle est la cause de près d’un tiers des décès d’adolescents de sexe masculin survenant dans les pays à revenu faible ou intermédiaire de la Région des Amériques de l’OMS. D’après l’enquête sur la santé des étudiants en milieu scolaire, 42 % des garçons et 37 % des filles sont exposés au harcèlement. La violence sexuelle touche également une proportion importante de jeunes : 1 jeune sur 8 affirme avoir été victime de violence sexuelle.

La violence pendant l’adolescence augmente également les risques de traumatisme, de contracter le VIH et d’autres infections sexuellement transmissibles, de problèmes de santé mentale, de difficultés scolaires et d’abandon scolaire, de grossesse précoce, de problèmes de santé reproductive et de maladies transmissibles et non transmissibles.

Pour contribuer à prévenir la violence, il faut favoriser au début de la vie une relation épanouissante entre parents et enfants, lutter contre le harcèlement à l’école, mettre en place des programmes qui développent les compétences sociales et les aptitudes à la vie quotidienne, et adopter des approches communautaires visant à réduire l’accès à l’alcool et aux armes à feu. En prodiguant aux adolescents victimes de violence des soins efficaces et empathiques ainsi qu’un soutien continu, on les aide à surmonter les conséquences physiques et psychologiques de la violence.

Santé mentale

La dépression est l’une des principales causes de maladie et d’incapacité chez les adolescents, et le suicide est la troisième cause de décès chez les 15-19 ans. Les troubles mentaux représentent 16 % de la charge mondiale de morbidité et des traumatismes chez les 10-19 ans. La moitié des troubles de santé mentale à l’âge adulte se manifestent dès 14 ans, mais la plupart des cas ne sont ni détectés ni traités.

De nombreux facteurs ont un impact sur le bien-être et la santé mentale des adolescents. La violence, la pauvreté, la stigmatisation, l’exclusion et le fait de vivre dans des situations de crise humanitaire et de fragilité risquent de favoriser l’apparition de problèmes de santé mentale. Si l’on ne s’occupe pas des problèmes de santé mentale des adolescents, les conséquences se font sentir jusqu’à l’âge adulte, ce qui nuit à la santé physique et mentale et limite les possibilités de mener une vie épanouie à l’âge adulte.

L’acquisition des aptitudes socio-émotionnelles utiles chez les enfants et les adolescents et le fait de trouver un soutien psychosocial dans les établissements scolaires et divers autres cadres communautaires sont à même de favoriser une bonne santé mentale. Les programmes servant à renforcer les liens entre les adolescents et leur famille et à améliorer la qualité de l’environnement familial ont aussi leur importance. Tout problème qui survient devrait être détecté et pris en charge rapidement par des agents de santé compétents et attentionnés.

 Santé mentale de l’adolescent– principaux repères

Consommation d’alcool et de drogues

La consommation nocive d’alcool par les adolescents est un sujet de préoccupation majeur dans de nombreux pays. Elle diminue la maîtrise de soi et favorise les comportements à risque, comme les rapports non protégés ou un comportement dangereux sur la route. C’est l’une des causes principales de traumatismes (dont ceux dus aux accidents de la route), de violence et de décès prématurés. La consommation nocive d’alcool peut aussi déboucher sur des problèmes de santé qui se manifesteront plus tard au cours de la vie et affecter l’espérance de vie. Dans le monde, plus d’un quart des 15-19 ans consomment de l’alcool, ce qui représente 155 millions d’adolescents. La prévalence de la consommation occasionnelle de fortes quantités d’alcool chez l’adolescent de 15 à 19 ans s’établissait à 13,6 % en 2016, la probabilité étant plus forte chez les garçons.

Le cannabis est la substance psychoactive la plus consommée chez les jeunes, environ 4,7 % des 15-16 ans en ayant consommé au moins une fois en 2018. La consommation d’alcool et de drogues chez les enfants et les adolescents est associée à des altérations neurocognitives qui peuvent entraîner des problèmes comportementaux, émotionnels, sociaux et scolaires plus tard dans la vie.

La prévention de la consommation d’alcool et de drogues est un domaine important de l’action de santé publique et peut inclure des stratégies et des interventions axées sur la population, ainsi que des activités aux niveaux scolaire, communautaire, familial et individuel. La fixation d’un âge minimum pour l’achat et la consommation d’alcool et la suppression du marketing et de la publicité auprès des mineurs figurent parmi les principales stratégies visant à réduire la consommation d’alcool chez les adolescents.

Consommation de tabac

C’est la plupart du temps à l’adolescence qu’on commence à consommer du tabac. L’interdiction de la vente des produits du tabac aux mineurs (moins de 18 ans) et l’augmentation du prix de ces produits moyennant des taxes plus élevées, l’interdiction de la publicité pour le tabac et l’instauration d’un environnement sans tabac sont des mesures cruciales. Au niveau mondial, au moins 1 jeune adolescent (13-15 ans) sur 10 consomme du tabac, et ce chiffre est beaucoup plus élevé dans certains endroits.

VIH/sida

Selon les estimations, quelque 1,7 million d’adolescents (10-19 ans) vivaient avec le VIH en 2019, dont 90 % environ dans la Région africaine de l’OMS (2). Bien que le nombre de nouvelles infections chez les adolescents ait considérablement diminué par rapport au pic de 1994, les adolescents représentent toujours environ 10 % des nouvelles infections par le VIH chez les adultes, dont les trois quarts concernent des adolescentes (3). En outre, si les nouvelles infections ont peut-être reflué dans bon nombre des pays les plus gravement touchés, la couverture du dépistage reste encore faible, ce qui laisse penser que de nombreux adolescents et jeunes vivant avec le VIH ne connaissent peut-être pas leur statut sérologique (4).

Pour les adolescents vivant avec le VIH, il faut améliorer l’accès au traitement antirétroviral, l’observance du traitement, la continuité des soins et la suppression de la charge virale. L’un des principaux problèmes tient à la rareté des services adaptés aux adolescents, notamment en termes d’interventions et de soutien psychosociaux.

Les adolescents et les jeunes doivent savoir comment se protéger et avoir les moyens de le faire. Il s’agit notamment de pouvoir accéder aux interventions de prévention du VIH, y compris la circoncision masculine médicalisée volontaire, les préservatifs et la prophylaxie pré-exposition, d’améliorer l’accès aux services de conseil et de dépistage du VIH, et d’établir des liens plus étroits avec les services de traitement du VIH pour ceux qui, à l’issue des tests, se révèlent séropositifs.

Autres maladies infectieuses

Grâce à une meilleure vaccination de l’enfant, les décès et les incapacités chez les adolescents dus à la rougeole ont fortement reculé ; ainsi, la mortalité des adolescents imputable à la rougeole a chuté de 90 % dans la Région africaine entre 2000 et 2012.

On estime que les diarrhées et les infections des voies respiratoires inférieures (pneumonie) figurent parmi les dix principales causes de décès chez les adolescents âgés de 10 à 14 ans. Avec la méningite, ces deux affections font partie des cinq principales causes de décès chez les adolescents dans les pays africains à revenu faible ou intermédiaire.

Les maladies infectieuses comme le papillomavirus humain (PVH), qui se déclenchent habituellement après le début de l’activité sexuelle, peuvent entraîner des affections à court terme (condylomes génitaux) pendant l’adolescence, mais causent surtout des cancers du col de l’utérus et d’autres cancers plusieurs dizaines d’années plus tard. Le meilleur moment pour vacciner contre l’infection à PVH est le début de l’adolescence (entre 9 et 14 ans), et on estime que si 90 % des jeunes filles étaient vaccinées contre le PVH dans le monde, plus de 40 millions de vies pourraient être sauvées dans les cent prochaines années. Néanmoins, on estime qu’en 2019, seules 15 % des jeunes filles étaient vaccinées à l’échelle mondiale.

Papillomavirus humain (PVH) et cancer du col de l’utérus – Principaux repères

Grossesses et accouchements précoces

Environ 12 millions de jeunes filles âgées de 15 à 19 ans et au moins 777 000 jeunes filles âgées de moins de 15 ans accouchent chaque année dans les régions en développement. Les complications de la grossesse et de l’accouchement sont la première cause de mortalité au monde chez les jeunes filles de 15 à 19 ans.

La Division de la population des Nations Unies établit à 43 pour 1000 le taux de natalité chez les adolescentes dans le monde en 2020, étant entendu que, selon les pays, ce taux s’échelonne de 1 à 200 naissances pour 1000 jeunes filles.(5) Cela témoigne d’un déclin marqué depuis 1990. Il va de pair avec celui du taux de mortalité maternelle chez les jeunes femmes de 15 à 19 ans.

L’une des cibles particulières des objectifs de développement durable (ODD3) consiste, d’ici à 2030, à assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux.

Les adolescents ont besoin d’une éducation sexuelle complète, c’est-à-dire d’un processus d’enseignement et d’apprentissage basé sur un programme et portant sur les aspects cognitifs, émotionnels, physiques et sociaux de la sexualité ; c’est également pour eux un droit. Un meilleur accès à l’information sur la contraception et aux services adaptés pourrait faire baisser le nombre de jeunes filles enceintes et accouchant à un âge trop précoce. Les lois fixant à 18 ans l’âge minimum du mariage peuvent améliorer cette situation, pour autant qu’elles soient appliquées.

Les jeunes filles qui sont enceintes doivent avoir accès à des soins prénatals de qualité. Lorsque la législation l’autorise, les adolescentes qui choisissent de mettre un terme à leur grossesse doivent pouvoir avorter dans de bonnes conditions de sécurité.

La grossesse chez les adolescentes – Principaux repères

Nutrition et carences en micronutriments

L’anémie ferriprive était la deuxième cause d’années de vie perdues (décès ou incapacité) chez les adolescents en 2016. La supplémentation en fer et en acide folique aide à promouvoir la santé des adolescents avant qu’ils ne deviennent parents. L’administration régulière de vermifuges dans les zones où les helminthes intestinaux, tels que l’ankylostome, sont fréquents est recommandée afin d’éviter les carences en micronutriments (y compris en fer).

Inculquer l’habitude de manger sainement à l’adolescence permet de jeter les bases d’une bonne santé à l’âge adulte. Il est important pour tout un chacun, mais en particulier pour les enfants et les adolescents, de réduire la commercialisation de produits alimentaires ayant une teneur élevée en graisses saturées, en acides gras trans, en sucres libres ou en sel, et de garantir l’accès à une nourriture saine.

Dénutrition et obésité

Dans les pays en développement, nombreux sont les garçons et les filles qui arrivent dénutris à l’adolescence, ce qui les rend plus vulnérables à la maladie et à une mortalité prématurée. À l’opposé, le nombre d’adolescents qui sont en surpoids ou obèses est en augmentation dans les pays à revenu faible, à revenu intermédiaire et à revenu élevé.

À l’échelle mondiale, plus d’un adolescent sur six âgé de 10 à 19 ans était en surpoids en 2016. La prévalence variait considérablement d’une Région de l’OMS à l’autre : elle était inférieure à 10 % dans la Région OMS de l’Asie du Sud-Est et supérieure à 30 % dans la Région OMS des Amériques.

Activité physique

L’activité physique est largement bénéfique pour la santé des adolescents, en leur garantissant notamment une meilleure forme cardiorespiratoire et musculaire, une meilleure santé osseuse, le maintien d’un poids de forme, ainsi que des avantages psychosociaux. L’OMS recommande que les adolescents pratiquent chaque jour au moins 60 minutes d’activité physique d’intensité modérée à intense, que ce soit en jouant ou en pratiquant un sport, pour se déplacer (vélo ou marche), ou dans le cadre des cours d’éducation physique.

À l’échelle mondiale, on estime que seul un adolescent sur cinq respecte ces lignes directrices. La prévalence de l’inactivité est élevée dans toutes les Régions de l’OMS, et supérieure chez les adolescentes par rapport aux adolescents.

Pour accroître les niveaux d’activité, les pays, les sociétés et les communautés doivent créer des environnements sûrs et favorables, et offrir à tous les adolescents la possibilité d’avoir une activité physique.

Droits des adolescents

Le droit des enfants (soit les personnes âgées de moins de 18 ans) à survivre, se développer et s’épanouir est consacré dans des textes juridiques internationaux. Le Comité des droits de l’enfant, qui encadre la Convention relative aux droits de l’enfant, a publié en 2013 des lignes directrices sur le droit de l’enfant et de l’adolescent à jouir du meilleur état de santé possible, puis en 2016 une observation générale sur la mise en œuvre des droits de l’enfant pendant l’adolescence. Ces textes mettent en avant l’obligation des États à reconnaître les besoins et les droits particuliers en matière de santé et de développement des adolescents et des jeunes.

La Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes énonce également le droit des femmes et des filles à jouir d’un bon état de santé et à recevoir des soins adaptés.

Action de l’OMS

En mai 2017, l’OMS a publié un rapport volumineux intitulé « Action mondiale accélérée en faveur de la santé des adolescents (AA-HA!) : Orientations à l’appui de la mise en œuvre dans les pays ». Ces orientations se sont inspirées des contributions reçues durant de larges consultations tenues avec les États Membres, les organes du système des Nations Unies, les adolescents et les jeunes, la société civile et les autres partenaires. Elles visent à aider les gouvernements à prendre des décisions sur l’action à mener et sur la façon de procéder pour satisfaire aux besoins des adolescents dans le domaine de la santé. Ce document de référence s’adresse aux responsables de l’élaboration des politiques et aux administrateurs de programmes, afin de les aider à planifier, mettre en application, suivre et évaluer les programmes portant sur la santé des adolescents. Des équipes de plus de 68 pays ont été formées à la mise en œuvre des orientations AA-HA! pour ce qui est de l’établissement des priorités nationales, de l’élaboration de programmes, du suivi et de l’évaluation ; en outre, de nombreux pays utilisent actuellement l’approche AA-HA! pour mettre à jour les stratégies et politiques nationales.

Dans le but d’améliorer l’évaluation de l’état de santé des adolescents dans le monde, l’OMS, en collaboration avec l’ONUSIDA, l’UNESCO, le FNUAP, l’UNICEF, ONU-Femmes, le Groupe de la Banque mondiale et le PAM a mis en place un groupe consultatif défendant l’action mondiale pour évaluer la santé de l’adolescent (Global Action for Measurement of Adolescent health, GAMA). Ce groupe consultatif fournit des orientations techniques à l’OMS et aux institutions des Nations Unies dont l’Organisation est partenaire afin de définir un ensemble fondamental d’indicateurs relatifs à la santé des adolescents, dans le but d’harmoniser l’action portant sur les mesures de la santé des adolescents et l’établissement de rapports en la matière.

Dans l’ensemble, l’OMS agit à plusieurs niveaux dans le but d’améliorer la santé des jeunes, notamment :

  • production de lignes directrices reposant sur des bases factuelles visant à appuyer les services de santé et d’autres secteurs ;
  • recommandations aux gouvernements au sujet de la santé des adolescents et de systèmes de santé adaptés aux besoins des adolescents, ce qui passe notamment par la prestation de services de santé de qualité et adaptés à cette tranche d’âge ;
  • documentation des progrès en matière de santé et de développement des adolescents ;
  • sensibilisation du grand public et des parties intéressées aux problèmes de santé des jeunes ;
  • activités de plaidoyer auprès des gouvernements et travail en concertation avec les organisations de jeunes et au service des jeunes dans le but d’appuyer la mise en place de structures et de processus à l’échelle nationale visant à institutionnaliser la participation des adolescents aux débats portant sur des domaines pertinents des politiques publiques, du financement et de la mise en œuvre de programmes.

Références bibliographiques

(1) Groupe interorganisations des Nations Unies pour l’estimation de la mortalité juvénile. Levels and Trends in Child Mortality: Report 2020. https://www.unicef.org/reports/levels-and-trends-child-mortality-report-2020.

(2) ONUSIDA, https://aidsinfo.unaids.org/

(3) UNICEF, 2020. https://data.unicef.org/topic/hivaids/adolescents-young-people/#:~:text=HIV%20in%20adolescents,of%20new%20adult%20HIV%20infections.

(4) Consolidated guidelines on the use of antiretroviral drugs for treating and preventing HIV infection: recommendations for a public health approach, 2e éd. Organisation mondiale de la Santé, 2016.

(5) Département des affaires économiques et sociales de l’Organisation des Nations Unies, Division de la population. World population prospects: fertility data 2020-2025. 2020. https://population.un.org/wpp/Download/Standard/Fertility/.

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